L'AMOUR PERDU

 

 Oryx antelope

 

L’amour perdu,

 

 

C’est si  loin de tous ces matins blafards,

Que je cherche encore ton regard,

ET le simple souvenir de toi,

Se reflétant au profond de mon émoi,

 

Je ressens alors au plus fort,

Toute la chaleur émanant de ton corps,

Toujours à l’affût de ce sourire enjôleur,

Qui me rendait si souvent rêveur,

 

Je me souviens encore de tes caresses,

Entremêlant  fougue et tendresse,

L’odeur enivrante de ton parfum,

S’impreignant au creux de mes mains,

 

J’ai constamment l’impression de te posséder,

Mais pourtant je t’ai perdu, toi la seule que j’aimais,

Mon amour peu à peu s’évapore,

Tel la nuit laissant place à l’aurore,

 

Toi, belle colombe tu t’es envolée,

Et Je suis resté impuissant pour t’apprivoiser,

Tu as préférée rejoindre d’autres cieux,

Qui, je l’espère seront pour toi plus heureux,

 

Mais n’oublies jamais que la vie tel une flamme,

Se consume alors  tout doucement,

Mais que mon amour restera toujours là belle femme,

Brûlant d’une braise ardente pour longtemps.

 

 

FRED

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